Non pas, bien évidemment, que la publication des caricatures du Prophète ne fut pas condamnable mais le jugement relevait d’une Cour pénale, d’un débat citoyen où le droit des communautés se serait taillé place raisonnable, face à
Le Calame : Assalamou aleykoum, Monsieur le président !
Le président Ghazwani : Aleykoum Essalam ! (Il commence à invoquer Allah et son Prophète (PBL) et récite plusieurs versets du Saint Coran pointant un doigt dans chaque direction cardinale…)