C’est de Bamako que j’ai eu l’idée d’envoyer une lettre à mon pays. La Mauritanie en est effectivement le destinataire. Ni les uns, ni les autres. Pas même le gouvernement. Ni le Président. Il n’est même pas en Mauritanie.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?