
A la prise du pouvoir par l’armée, en 1984, l’endettement du Trésor, auprès du système bancaire, s’élevait à 45 milliards de francs guinéens (1,9 milliard USD, alors que 1 $US = 24 FG, à l’époque).

On n’en attendait pas moins mais… mieux vaut tard que jamais ! Le Président l’a mis en exergue lors d’un speech prononcé à N’Beïket Lahwach et s’est montré ferme : tout fonctionnaire est un représentant de l’État, non seulement au bureau mais, également, en dehors de celui-ci.