"Trois avocats français à la Cour d'appel de Paris, Mes Jean-Pierre Mignard, Pierre-Emmanuel Blard et Alexis Madelain, sont arrivés à Nouakchott afin de rencontrer leurs clients, sénateurs, journalistes et syndicalistes et dont le sénateur Ould Ghadda, toujours détenu. Ils doivent rencontrer le juge d'instruction après avoir participé à une réunion de travail avec leurs confrères du barreau de Nouakchott".
Les Mauritaniens iront donc aux urnes le 29 Juin pour réélire le président Ghazwani. « Pourquoi lui et pas un autre ? », serait-on tenté de se demander. Tout simplement parce que c’est une élection sans enjeu. Il n’existe, à ce jour, aucun candidat capable de lui porter contradiction.