Le Sénégal a décidé de fermer à nouveau ses frontières terrestres avec la République de Guinée, « compte tenu de l’évolution de la fièvre hémorragique à virus Ebola qui pose un problème de santé publique de portée mondiale », selon le ministre de l’intérieur et de la sécurité publique, Aboulaye Daouda Diallo.
« Cette mesure est étendue aux frontières aériennes et maritimes, pour les aéronefs et navires en provenance de la République de Guinée, de la Sierra Leone et Liberia », ajoute Diallo dans un communiqué cité par l’Agence de Presse sénégalaise (APS-Publique).
En conséquence, « les autorités administratives, les forces de défense et de sécurité veilleront à la mise en œuvre de cette mesure ».
Sans remède connu et sans vaccin à l’état actuel de la médecine, la fièvre hémorragique Ebola a déjà fait plus de 1300 morts en Guinée, Sierra Leone, Liberia et au Nigeria.
Les Mauritaniens iront donc aux urnes le 29 Juin pour réélire le président Ghazwani. « Pourquoi lui et pas un autre ? », serait-on tenté de se demander. Tout simplement parce que c’est une élection sans enjeu. Il n’existe, à ce jour, aucun candidat capable de lui porter contradiction.