Avec une canicule inhabituelle à cette période de l’année, qui sévit depuis plus de 10 jours, des coupures récurrentes d’eau et d’électricité, sans aucune explication, Nouakchott ressemble à un véritable capharnaüm.
Une situation très pénible qui intervient à quelques jours du début du mois sacré de Ramadan.
Un moment de pardon et de solidarité, suivant les recommandations de l’Islam, mais systématiquement mis à profit par des commerçants véreux qui augmentent les prix de la quasi totalité des denrées de base.
Comment ne pas faire, d’une réélection apparemment tranquille, les prémices d’une chute aussi brutale que désastreuse ?