« Nous saluons la libération hier, le mardi 17 mai, de deux militants anti-esclavage, Biram Dah Abeid et Brahim Bilal Ramdhane, suite à une décision de la Cour suprême mauritanienne.
Comment ne pas faire, d’une réélection apparemment tranquille, les prémices d’une chute aussi brutale que désastreuse ?