Quatre mois après avoir quitté le pouvoir, conclus, au dernier, par une piteuse et vaine tentative de reconquérir le parti qu’il avait fondé à partir de rien, Ould Abdel Aziz s’applique toujours à faire parler de lui. A peine de r
L’interview exclusive accordée par le président Ghazouani au journal « Le Monde », la semaine dernière, officialise notamment le « conflit » en cours entre l’actuel locataire du Palais et son prédécesseur.
« Mon Dieu, gardez-moi de mes amis, quant à mes ennemis, je m’en charge ! », cette célèbre prière de Voltaire – ou d’Antigonos II, roi de Macédoine, selon une autre version – Ould Abdel Aziz aura tout le temps de la méditer.
Il est revenu. Il nous manquait pourtant si peu. Ould Abdel Aziz a préféré écourter son exil volontaire pour replonger dans la mare aux caïmans. Personne n’imaginait cependant qu’il allait tomber aussi bas.
Les Mauritaniens se préparent à célébrer cinquante-neuf ans d’indépendance dans quelques jours. Il va sans dire que six décennies, c’est a priori bien peu dans la vie d’une nation.
Monsieur le Président, vous fêterez très bientôt vos cent premiers jours à la magistrature suprême. Un délai communément admis dans le Monde pour dresser le premier bilan d’un nouveau chef d’Etat. Pourquoi cent ?
Le mouvement de protestation contre une mesure très impopulaire du ministre de l’Enseignement supérieur : refuser l’inscription dans les universités nationales de tout bachelier de plus de vingt-cinq ans prend jour après jour de
Un enregistrement vidéo datant de quelques années circule, depuis quelques jours, sur les réseaux sociaux. L’ancien président Ould Abdel Aziz y évoque la gabegie qui mine l’économie du pays.