
Dix jours après l’élection présidentielle qui a propulsé le président Ould Abdel Aziz à un deuxième mandat consécutif ; sept mois après les municipales et législatives qui ont permis, à son parti, de raffler la majorité des sièges
Le dossier de la corruption où sont impliqués l’ex-président Ould Abdel Aziz, des Premiers ministres, des ministres et d’anciens hauts responsables fait de nouveau parler de lui.