L’avion volait à une altitude moyenne au-dessus de Legrara. Bien calé dans son siège, le pilote, qui, pendant les reconnaissances ne mettait jamais le pilotage automatique, tenait le manche de l’avion à deux mains.
Comment ne pas faire, d’une réélection apparemment tranquille, les prémices d’une chute aussi brutale que désastreuse ?