L’épave d’un bateau qui s’est échoué, voici neuf mois, à la plage des pêcheurs de Nouakchott, ne cesse de faire des victimes. La liste macabre des blessés et des morts s’allonge.
Comment ne pas faire, d’une réélection apparemment tranquille, les prémices d’une chute aussi brutale que désastreuse ?