Des commerçants des marchés de la capitale, notamment ceux du célèbre «Cha’ri erezek » font depuis quelques jours un grand tapage médiatique autour de la perception des impôts sur les commerces qu’ils tiennent.
Pourtant munis de visas en bonne et due forme, ils sont de plus en plus nombreux, les mauritaniens qui se font refouler à l’aéroport de Las Palmas, victimes du zèle de certains policiers.