Le gouvernement a fait l’objet d’un léger réaménagement se traduisant par trois (3) départs, quatre (4) entrées et deux (2) changements de postes, selon un décret de la présidence de la République rendu public vendredi soir.
Comment ne pas faire, d’une réélection apparemment tranquille, les prémices d’une chute aussi brutale que désastreuse ?