Le 28 avril 2017, la direction générale de la sureté nationale convoque Marie Foray, universitaire en droits de l’homme et Tiphaine Gosse, journaliste qui entreprenaient des recherches sur l’esclavage et le racisme en Mauritanie.
Pourtant munis de visas en bonne et due forme, ils sont de plus en plus nombreux, les mauritaniens qui se font refouler à l’aéroport de Las Palmas, victimes du zèle de certains policiers.